lunedì 28 maggio 2012

lettera del presidente del ROPPA all'Unione Africana per l'agricoltura


Au Président de l'Union africaine,


Monsieur le Président,

Permettez à un citoyen paysan ouest-africain de vous faire part de sa préoccupation, avant la tenue du Symposium du G8 à Washington, les 18 et 19 Mai 2012 sur la sécurité alimentaire, et du G8 le 20 Mai 2012 à Camp David. Deux événements au cours desquels il sera discuté de la sécurité alimentaire de notre continent, après Aquila en 2008 et Paris en 2011.

Les débats internationaux sur le financement de l’agriculture africaine semblent prendre une tournure peu favorable au nécessaire renouvellement des approches. Or, cette question est fondamentale. Les choix opérés en Afrique Subsaharienne concernant les modalités de financement et la destination des investissements nécessaires détermineront la forme du développement agricole et le profil du système alimentaire africain de demain.

Il semble que les approches financières appropriées pour faire face aux principaux défis n’aient pas été encore trouvées. Pour rappel, l’agriculture africaine au sud du Sahara est aujourd’hui confrontée à trois problématiques centrales, qui sont consensuellement identifiées par l’ensemble des acteurs, à savoir :
-          augmenter la production de façon durable et équitable, et améliorer le fonctionnement des marchés ;
-          améliorer la productivité, la rentabilité des exploitations et des filières, pour asseoir durablement la sécurité et la souveraineté alimentaire ;
-          concilier des prix bas pour les consommateurs et des revenus décents et incitatifs pour les producteurs.

Ces défis impliquent de résoudre une équation complexe, intégrant l’ensemble des interrogations suivantes : quels investissements réaliser ? Quels systèmes de production privilégier ? Quels produits soutenir ? Quels marchés viser (local, national, régional, international) ? Et au profit de qui orienter les soutiens ?

Par ailleurs, il est évident que les réponses ne sauraient être univoques : aucune innovation technique ou institutionnelle ne saurait suffire à elle seule pour relever ces défis.

Nous sommes aujourd’hui confrontés à deux aspirations contraires en Afrique subsaharienne: l’ambition d’un leadership retrouvé sur notre développement et la tentation d’un recours excessif aux ressources extérieures.

Au cours des années 2000, donc 25 ans après sa création, la CEDEAO optait pour la mise en place de politiques sectorielles agricoles régionales, cohérentes en cela avec l’intention originelle des pays fondateurs, à savoir la promotion du bien être des peuples par le développement économique et la paix.

La PAU de l’UEMOA puis l’ECOWAP de la CEDEAO ont été élaborées en 2001 et 2005 dans un esprit de dialogue avec les réseaux des organisations de paysans et de producteurs agricoles et en rupture avec l’approche « projet » dont nous avons mesuré toutes les limites. Ces politiques ont été validées et les actes réglementaires signés par les Chefs d’Etats africains.

Parallèlement les Etats africains s’engageaient à Maputo à consacrer davantage de ressources publiques à l’agriculture. En complément de ces initiatives, le NEPAD impulsait en 2006 un nouveau partenariat pour l’agriculture. L’ensemble de ces engagements attestaient d’un réel sursaut des autorités africaines en faveur de l’agriculture, d’une volonté nouvelle de reprendre le leadership sur le développement en dialogue avec les populations locales. Ils suscitaient de grands espoirs parmi les mouvements sociaux et les réseaux des organisations de paysans et de producteurs qui voyaient revenir l’agriculture au cœur de l’agenda politique. Ceux-ci voyaient enfin les autorités africaines prendre résolument et définitivement leurs responsabilités pour définir, valider et financer une bonne part des dépenses dans le secteur moteur de leurs économies, à savoir : l'agriculture, l'élevage, la foresterie et la pêche, communément appelé le « secteur agricole ».

Malheureusement la méthode d’élaboration du PDDAA a rapidement semblé renouer avec une approche regrettable. Les programmes nationaux de développement agricole (PNIA), impulsés d’en haut, sans une suffisante concertation avec les acteurs, sont apparus principalement comme des occasions de négocier de nouveaux apports d'aide extérieure. Pour beaucoup, le contenu de ces programmes nationaux ne déroge pas aux traditionnelles listes de projets, standards d’un pays à l’autre, et redondants voire concurrents entre eux. Il semble pourtant, dans le passé, que nous ayons beaucoup pâti de ce type de programmes, et que désormais nous ayons tout à gagner à nous préoccuper de la mise en place effective de nos politiques agricoles, à la mesure de la PAC en Europe, de la Farm Bill aux Etats-Unis ou aux politiques mises en place au Brésil et en Inde.

Ensuite, le paradoxe entre un consensus africain sur la nécessité d'accroître les investissements dans l'agriculture et les imprécisions entourant la destination de ces investissements (quels produits, quels marchés ?) constitue à mes yeux un sérieux motif d'inquiétude : comment envisager raisonnablement une mise en œuvre de politiques aussi imprécises ? Pour moi l'ECOWAP devrait faire la part belle aux  principaux investisseurs dans l'agriculture, à ceux qui prennent les risques au sein des exploitations agricoles, c'est à dire les paysans, et non pas prioritairement aux porteurs de capitaux urbains ou étrangers. 

Trois événements sont venus accentuer ce doute. Il y eut d'abord des malentendus autour du principe de la révolution verte proposé par AGRA. Il y eut ensuite le Forum économique mondial, d’où a été lancé « Grow Africa ». Il y eut enfin l'approbation par l'USAID de la « nouvelle alliance » pour l'alimentation devant voir le jour en juin 2012. Autant de signes, qui à mes yeux, risquent sérieusement de compromettre la réalisation des missions originelles de l'ECOWAP, de la PAU et des politiques similaires en Afrique.

Au moment où le Président des Etats Unis, en toute bonne foi, je crois, décide d'organiser un Symposium sur la sécurité alimentaire les 18 et 19 Mai 2012 à Washington, la veille du G8 de Camp David, je m'adresse à vous, Monsieur le Président en exercice de l'Union africaine, et à travers vous à l'ensemble des Chefs d'Etat africains, pour comprendre les raisons qui vous laissent penser que la sécurité et la souveraineté alimentaire de l'Afrique puissent advenir par la coopération internationale et hors des cadres de politiques élaborés de manière inclusive avec les paysans et les producteurs du continent.

Un regard sur l'histoire du développement agricole dans l'ensemble des régions du monde nous enseigne que l'agriculture ne s'est jamais développée de cette façon. Nous savons aujourd'hui que les grands progrès dans l'agriculture, les grands succès des politiques agricoles obtenus en Europe, aux Etats Unis et dans les pays émergents tels que le Brésil et l'Inde ont toujours été le fait d'une volonté souveraine et d'un partenariat entre les Etats et les forces économiques en présence, à savoir les producteurs, les transformateurs, les commerçants.

A mon humble avis, l'argument selon lequel les Etats ne disposeraient pas des ressources nécessaires pour financer de telles politiques n'est pas recevable. La gestion des ressources minières en exploitation, pour laquelle les Etats africains sont en général perdants, devrait par exemple permettre de dégager les ressources pour de tels investissements. L'arbitrage dans les dépenses publiques est également en cause. La contribution des activités agro-sylvo-pastorales et halieutiques à la création des richesses de nos pays agricoles, à la fourniture et à la sécurisation des emplois, à la stabilité sociale justifient qu'un choix clair en faveur de ce secteur soit adopté par les Etats africains. Ceci n'est nullement contraire à notre attachement à la coopération internationale, de laquelle nous devrions attendre un respect accru de la Déclaration de Paris, du droit à l'alimentation conformément à la Charte des droits de l’homme et du citoyen des Nations unies, une lutte contre la spéculation financière et la corruption internationales.

Je voudrais tout simplement rappeler que la sécurité et la souveraineté alimentaire seront la base de notre développement général, comme tous les gouvernants africains ne cessent de le rappeler. Il s'agit d'un enjeu stratégique. C'est pourquoi nous devons bâtir notre politique alimentaire sur nos propres ressources comme c'est le cas dans l'ensemble des régions du globe. Le G8 et le G20 ne sauraient constituer des lieux indiqués pour de telles décisions.

En vous priant de transmettre ce message à vos pairs, je vous prie d'excuser ce cri du cœur, aussi maladroit puisse-t-il apparaître, d'un citoyen paysan africain convaincu que nous avons les moyens, les intelligences, les ressources, pour bâtir nous-mêmes notre avenir.

Je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l'expression de ma très haute et sincère considération.

Mamadou Cissokho
Président Honoraire du ROPPA
Président du Comité de Pilotage PCD/OSC
15 Mai 2012


Liste des organisations régionales signataires
1.      Réseau des Organisations Paysannes et de Producteurs Agricoles en Afrique de l'Ouest (ROPPA),
2.      Forum des Organisations de la Société Civile de l'Afrique de l'Ouest (FOSCAO) ;
3.      Réseau des Plates-formes d'Afrique de l'Ouest et du Centre (REPAOC),
4.      Réseau des Journalistes Economiques d'Afrique de l'Ouest (RJE-AO ou WANEJ),
5.      Réseau des Chambres d’Agriculture de l’Afrique de l’Ouest (RECAO)
6.      Plate-forme des Organisations de la Société Civile d'Afrique de l'Ouest sur l'Accord de Cotonou (POSCAO-AC),
7.      Dynamique des Organisations de la Société Civile d’Afrique de l’Ouest (OSCAF)
8.      Réseau des Associations de Femmes d'Afrique de l'Ouest (AFAO),
9.      Coalition des Organisations Africaines pour la Sécurité Alimentaire et le Développement Durable (COASAD),
10. Réseau de recherches Pour l'Appui au Développement en Afrique (REPAD),
11. Institut Ouest Africain de Commerce et Développement (WAITAD),
12. Association des Barreaux Ouest Africains (WABA),
13. Association Nationale des Commerçants du Nigeria (NANTS),
14. Plate forme des Acteurs de la Société Civile au Bénin (PASCiB),
15. SYTO (Réseau ouest africain de la jeunesse)

giovedì 19 aprile 2012

Emergenza in Mali: il punto di vista di un cooperante


Sono ritornato dal Mali da qualche giorno, in quanto la zona di intervento del progetto di Rete e Terranuova, la regione di Mopti, è impraticabile in questo momento: tutte le autorità civili sono fuggite, e poiché gruppi armati non ben identificati approfittano della situazione per compiere sporadici atti di violenza e furti.
In effetti, dopo il colpo di stato del 22 marzo 2012, non solo la Becao (Banca Centale degli Stati dell’Africa dell’Ovest) e la Cedeao (Comunità Economica degli Stati dell’Africa dell’Ovest) hanno paralizzato in un embargo totale l’economia e la politica del Mali, ma vari generali di Amadou Toumani Toure (l’ex presidente maliano) hanno disertato o si sono alleati ai vari gruppi ribelli, lasciando il paese nel caos e l’esercito nel panico, cosa che ha portato l’infiltrazione di gruppi armati nel Nord del paese.
In Mali, la comunità internazionale si posiziona decisamente contro i colpisti, senza fare un analisi geopolitica più complessa e che preveda una riflessione sulla subregione ed in particolare sulle conseguenze della guerra scatenata in Libia, che ha armato gruppi di ribelli e trafficanti del deserto che oggi, senza il riferimento di Gheddafi, sono allo sbando e senza un controllo.
Intanto Blaise Campaoré (presidente del Burkina Faso) e Ouattara (presidente della Costa d’Avorio), interessati a dare un segno forte contro gli oppositori interni che minacciano colpi di stato, gestiscono, con l’aiuto della Francia, il destino di un paese che negli ultimi anni aveva raggiunto un alto grado di democratizzazione formale, senza interessarsi alle cause sociali e economiche che l’embargo e un eventuale guerra al Nord porterebbero alla popolazione che in più soffre di un annata con deficit di pioggia e di un periodo dell’anno, in cui le scorte alimentari iniziano a scarseggiare.
France 24 continua a intervistare il porta voce del governo provvisorio touareg, che ha la sua sede a Parigi, dando voce ai cosi detti “ribelli” del Mnla, che non controllano ne politicamente ne militarmente la zona Nord del Mali (Arzawad), confusa tra un immensità di piccoli gruppi legati ai salafisti, ad Aqmi e al traffico di droga. Il Maliani sono sconcertati e scoraggiati, dall’abbandono in cui i paesi confinanti li hanno lasciati, senza capire perché al posto di appoggiare la guerra contro i ribelli del Nord, si concentrino a contrastare un popolo già allo stremo.
Negli ultimi giorni, l’embargo è stato tolto, grazie alla decisione del capitano Sanogo, responsabile del colpo di stato, di lasciare con una rapidità da record il potere alle autorità civili. Questa decisione non ha risolto i problemi politici del paese, aggravati dagli arresti negli ultimi giorni di personaggi di spicco della politica e della difesa, e da una classe politica incapace di concentrarsi sulle necessità del popolo.
In questa situazione di incertezza, i nostri partners ci riferiscono paura e confusione, increduli che un paese come il Mali possa essere sprofondato in una crisi che non vedrà soluzione nel breve periodo.
Simone Teggi

mercoledì 4 aprile 2012

Colpo di stato e ribellione tuareg in Mali

ribellione tuareg

In seguito allo scoppio della ribellione tuareg nel nord del Mali, nella notte tra il 21 e il 22 marzo una parte dei militari ha occupato la televisione pubblica e alcuni edifici governativi, accerchiando il palazzo presidenziale e il ministero della difesa. Il motivo è il malcontento da parte delle forze militari verso il governo ed il presidente in merito alla “cattiva gestione degli eventi al nord” e quindi la cattiva gestione dell diritto alla democrazia. I militari accusano di avere scarso sostegno per fronteggiare i disordini al nord e quindi il governo di non saper gestire i dialoghi e gli accordi. La giunta afferma di voler restaurare a breve la costituzione, ma intanto gli aiuti internazionali sono stati bloccati e non si sa nulla delle elezioni previste.

I tuareg, forti delle armi riportate in Mali dalla Libia, hanno buon gioco a fronte della divisione dell’esercito, e dopo aver conquistato Timbuctu e Gao stanno allargando il loro controllo sull’Azawad, il vasto territorio desertico da loro rivendicato, e si dirigono verso Mopti. I tuareg fanno riferimento a varie organizzazioni, di cui la principale è la MNLA.

Inoltre è in corso una seria crisi alimentare.

A Bamako si trova un collaboratore nostro e di Terra Nuova, che sta supervisionando il nostro progetto, rientrato nella capitale a febbraio, con cui siamo in contatto perenne.

Le frontiere sono chiuse, la capitale è relativamente tranquilla, ma con frequenti blackout. La situazione è imprevedibile ed in continua evoluzione. Seguiteci per aggiornamenti costanti su https://twitter.com/#!/ReteOng

giovedì 1 dicembre 2011

Dichiarazione di Davide GARIGLIO, Angela MOTTA e Gianna PENTENERO (PD)


COOPERAZIONE INTERNAZIONALE.
“INACCETTABILE LA SCELTA DELLA GIUNTA COTA DI
AZZERARE I FONDI DELLA COOPERAZIONE INTERNAZIONALE”.
Dichiarazione di Davide GARIGLIO, Angela MOTTA e Gianna PENTENERO (PD)


Nella seduta odierna della Commissione Cultura del Consiglio Regionale del Piemonte, la maggioranza di centrodestra ha espresso parere favorevole al disegno di legge di bilancio 2012 che lascia a zero la Cooperazione internazionale.
Pur nella consapevolezza delle difficoltà finanziarie del momento, riteniamo inaccettabile la scelta della Giunta Cota di azzerare i fondi della cooperazione internazionale. In questi anni la cooperazione decentrata piemontese ha avviato numerosi progetti di rete che hanno coinvolto gli Enti locali con le associazioni di volontariato e le Ong presenti nella nostra Regione. La totale soppressione dei contributi regionali determinerà l’impossibilità di portare a compimento questi progetti, che toccano la vita di migliaia di persone.
Oggi è apparso evidente come l’affermazione tante volte ripetuta dalla Lega, ‘Aiutiamo gli immigrati in casa loro’, sia un’affermazione totalmente falsa.

Davide GARIGLIO
Angela MOTTA
Gianna PENTENERO
Consiglieri regionali PD



Ufficio Stampa Gruppo Consiliare Partito Democratico
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martedì 15 novembre 2011

Bosnia e Serbia a Italia 150

Il 17 novembre il Cecchi Point ospiterà una giornata interamente dedicata ai Balcani, promossa dal Comune di Torino con la collaborazione di RETE.

PROGRAMMA

Bosnia-Erzegovina e Serbia al Cecchi Point

A cura della Città di Torino (Settore Cooperazione Internazionale e Pace) in collaborazione con RE.TE Ong, Segretariato Sociale RAI, SMAT, AMIAT, Alma Teatro, Coro CAI UGET.

17 NOVEMBRE 2011 ore 9.30 – 19.30

Cecchi Point – Salone delle Arti, Teatro dell’Officina

Via Cecchi, 17 – Torino

Ingresso gratuito

9.30 – 12.30 COOPER / AZIONE

Laboratori per gli alunni torinesi delle scuola primaria e secondaria di 1° grado.

* * * * * *

15.00 LA REALTà odierna dei Balcani

Dibattito: Piero Fassino, sindaco Città di Torino

Maurizio Tropeano, giornalista La Stampa

Eric Gobetti, storico

Modera: Carlo Romeo, responsabile Segretariato Sociale RAI

16.00 Presentazione dI progettI DI COOPERAZIONE INTERNAZIONALE

Potenziamento dei servizi delle aziende municipali di Breza (Bosnia Erzegovina) e Kragujevac (Serbia): promosso dalla Città di Torino, cofinanziato dalla Regione Piemonte, in partenariato con SMAT, AMIAT, RE.TE Ong, Associazione CerchiamoLaPace, Città di Breza, Città di Kragujevac, Azienda Municipalizzata JKP Breza, Azienda Municipalizzata “Čistoća” Kragujevac, Azienda Municipalizzata “Zelenilo” Kragujevac.

Breza, cooperazione e sviluppo: promosso da RE.TE Ong, cofinanziato dal Ministero degli Esteri – DGCS, in partenariato con Città di Torino, SMAT, AMIAT, CESVI Onlus.

Novi Putevi (Strade Nuove). Azioni per lo sviluppo locale del settore turistico nell’Europa centro-orientale:promosso dalla Città di Torino, cofinanziato dalla Regione Piemonte, in partenariato con CAI – UGET Torino, ODP Torino, Coop. Sociale I.So.La., Associazione CerchiamoLaPace e sostenuto da RETE Ong, Associazione EquaMente, AGESCI Progetto Sarajevo.

Scambi giovanili e scolastici: promossi da RE.TE Ong, associazione EquaMente, scuole torinesi.

Gli interventi saranno intervallati dal:

CONCERTO DELL’ORCHESTRA INTERNAZIONALE PER LA PACE

“PEQUENAS HUELLAS”

verranno proiettati i video:

  • Acqua: presentazione delle attività per il miglioramento della distribuzione di acqua potabile a Breza.
  • Torino-Breza A/R: le esperienze di volontariato sui sentieri in Bosnia Erzegovina.
  • Selezione dei cortometraggi vincitori del Concorso indetto in occasione della Tregua Olimpica.

e sarà presentata la:

SFILATA DI MODA “ETNO RADIONICA” (sfileranno le allieve dell’Istituto Superiore Statale Galileo Ferraris di Settimo Torinese)

17.30 LETTURE DI TESTI DAI BALCANI, a cura di Alma Teatro.

18.00 CONCERTO DELLA BAND DEL CENTRO GIOVANI “KG YOUTH SECTOR” DI KRAGUJEVAC

Rinfresco con piatti e bevande balcaniche.

19.00 CONCERTO DEL CORO CAI UGET


Per informazioni sulla giornata e prenotazioni: rete@arpnet.it

Telefono: 011.7707388, orario: 10.00 – 13.00

Per informazioni sui progetti: cooperazione.internazionale@comune.torino.it

Telefono: 011.4434818 / 011.4424927, orario: 10.00 – 13.00